Une violence qui devient presque banale, avec ses conséquences tragiques sur le pays, et sa population.
Chaque jour apporte son lot tragique de tués, de blessés, de viols, enlèvements...
Cité Soleil, l’Artibonite (au centre du pays), sont parmi les lieux les plus touchés.
C’est là que nos écoles tentent de poursuivre l’aide aux enfants. L’état de sous-nutrition devient la règle parmi les populations déjà très pauvres du pays.
Est-ce admissible aujourd’hui ?
Quand les écoles arrivent à fonctionner, les cantines attirent beaucoup d’enfants qui n’ont guère que ce repas dans la journée. mais la violence, les assassinats occasionnent de nombreuses fermetures d’établissements.
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Associations, partenariats, connivences entre les gangs, les groupes d’autodéfense, la police...
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Un article de journal haïtien "Le nouvelliste"
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